• Parce que le monde bouge et nous évoluons avec lui.
    Parce que mille et une raisons et autant d'ignorances.
    Parce que le libre arbitre et l'esprit critique...
    Parce que je suis né là-bas et vit ici.
    Parce que je jouis quotidiennement de cette liberté
    Parce que je n'ai pas à convoiter ma vie.
    Parce que je me réveille sans crainte.
    Parce que mon égoïsme m'aveugle.


    Parce qu'ils existent et que ce sont les fêtes pour leurs familles aussi.

    Reporters sans frontières http://www.rsf.org/

    Reporters Sans Frontières


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  • Alpha Blondy - Unité Nationale</em /></em /></font /></em /></em />

    Reçu hier soir... (Petite précision : nous avons habité la Côte d'Ivoire de 1984 à 1989).
    Quand est-ce que bété, baoulé, malinké et dioula vont parler d'un langage commun ?
    C'est triste de voir l'Afrique dans cet état!

    ------------------------------------------------------------------------------------

    Comment ça va à Bruxelles ?

    [Censure car paragraphe plus personnel</em />]

    Nous avons eu des nouvelles des **** qui sont rentrés en Belgique

    Ils ont tout perdu en CI, leur maison a été complètement saccagé sous leurs yeux mais ils en sont heureusement sortis indemnes (sauf moralement...) sauvés par les chars de l'armée française !

    Ils vont s'installer en Belgique en tout cas pour le moment et Camille va à l'école à Bruxelles.

    Heureusement *** (la société avec laquelle Bernard travaille) les a logés et ils ont donné un poste à Bernard en Belgique.

    Ici rien de spécial.

    Bisous

    Papa

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    Extrait de 'Lesoir.be'

    Ces Belges qui ont fui la Côte d'Ivoire


    TÉMOIGNAGE Tout laissé, tout perdu. Bernard, marqué par la fatigue, avance vers le bureau d'accueil des rapatriés belges à l'aéroport de Roissy. L'empreinte de son alliance est marquée dans la chair. Ils m'ont dit que si je n'arrivais pas à la retirer, ils me couperaient le doigt. D'un coup, elle s'est enlevée toute seule... Il en sourit de soulagement. Bernard a quitté la Côte d'Ivoire, comme quelques dizaines de Belges. Il est des onze qui sont arrivés à Roissy, près de Paris, avec des rapatriés français. D'autres ont pris des vols des Nations unies et des Pays-Bas ou le bateau vers le Ghana. Derrière Bernard, dans l'aérogare de Roissy, sa femme Christine et leur fille Camille, 11 ans. Il est 6 heures du matin jeudi. Ils viennent de fuir la Côte d'Ivoire. Un sauve-qui-peut de quelques heures pour abandonner toute une vie. Bernard a toujours vécu en Afrique. Christine est arrivée il y a 21 ans... Les fauves sont lâchés. Plusieurs bandes de patriotes ivres sont passées dans la maison. Ils ont arraché les portes, tout volé et le reste a été saccagé. Notre maison éventrée, nous ne pouvions plus nous y cacher, raconte-t-elle, ses grands yeux verts cerclés de lunettes dont il manque une branche. Vous vous demandez ce qu'ils vont vous faire. Jamais je n'ai eu aussi peur. J'ai caché mes bagues dans ma poche, ils sont au moins quinze à y avoir plongé les mains, sans rien trouver. Elle parle sans discontinuer, pour se dégager d'un poids. Vous n'imaginez pas le soulagement de voir les chars au bout de votre rue. Pris en charge par les militaires français, ils ont dormi à la belle étoile, puis dans une discothèque. Nous sommes rapidement venus chercher nos passeports à la maison avant de fuir. Bernard attend que le calme revienne à Abidjan pour y retourner. Je dois payer les salaires, m'occuper de la filiale ivoirienne que j'ai créée il y a vingt ans... Page 8

    Et tant que j'y suis le site du Fratmat (quotidien ivoirien).

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    Parole et musique d'Alpha Blondy.

    Alpha Blondy : Guerre civile

    Dans un pays avec plusieurs Ethnies
    Quand une seule Ethnie, monopolise le pouvoir
    pendant plusieurs décennies,
    et impose sa suprématie !!!
    Tôt ou tard, ce sera la Guerre Civile !
    Le pouvoir absolu corrompt absolument
    Le Président élu ne peut-être élu indéfiniment
    Un jour ou I'autre le peuple voudra un changement
    Et alors ce sera la Guerre Civile

    Président élu une fois..........
    élu deux fois.......
    élu trois fois.......
    élu quatre fois, ça devient de la dictature
    S'imposer démocratiquement,
    ôte-toi de là que je m'y mette..............
    Ma tribu n'est pas ta marionnette, et c'est parti,
    oui parti pour la guerre civile......
    Bombe tribale, bombe coloniale
    Comment allons nous faire pour la désamorcer....
    Bombe tribale, bombe coloniale
    Comment allons-nous faire pour la désamorcer ?
    La démocratie BANANIA finira par la guerre civile...

    La démocratie Banania..........
    Finira par la guerre civile.......

    Bombe tribale, bombe coloniale
    Comment allons-nous faire pour la désamorcer
    bombe tribale, bombe coloniale
    Comment allons-nous faire pour la désamorcer

    La démocratie Banania
    finira par la guerre civile
    La démocratie bananière
    Finira par la guerre civile.

    (PAUSES)

    Les démocraties bananières
    Pour les Républiques Bananières
    La démocratie Bananière
    Pour les Républiques Bananières
    Bombe tribale, bombe coloniale
    Comment allons-nous faire pour la désamorcer ?


    14 commentaires
  • Grace Jones - Pull up to the bumper

    Ce matin, j'étais en voiture avec un ami. On roulait sans excès, ni de vitesse, ni de prudence. La route est divisée en deux bandes. Il y a donc toute la place du monde. Nous discutions tranquillement quand retentit un coup de klaxon insistant. Derrière nous, un véhicule nous colle aux pare-chocs avec l'envie manifeste de nous dépasser. Grand bien lui fasse, mon ami lui fait signe de dépasser. Le monsieur n'obtempère pas et continue de klaxonner en faisant vrombir son moteur. Je cherche désespérément mon bazooka de poche (je l'ai oublié à la maison). On s'arrête au feu rouge. Quand on entend un violent coup sur la vitre coté conducteur. Le monsieur est sorti de sa voiture et vocifère : «Fais pas de ton pédé, sors de ta bagnole et viens te battre comme un homme ! ». Mon ami abaisse sa vitre et, avec un grand sourire, il lui dit : « Si c'est ça être un homme, je préfère être pédé ! » et referme calmement sa fenêtre. Le feu étant passé au vert, nous partons le laissant là, les poings serrés, pantois. Dix mètres plus loin, l'abruti de service nous dépasse à vive allure en klaxonnant de plus belle.

    Je vous avoue si ça ne tenait qu'à moi. Je lui aurais bien mis un coup sur la tête et l'amener à l'hôpital aux services des accidentés de la route. Qu'il fasse connaissance avec les paraplégiques, les paralytiques, les enfants victimes de chauffard et même avec les infirmières (qui se passeraient bien d'être débordées).

    Quand est-ce que certains enfoirés comprendront qu'on ne prend pas la route ; mais qu'on la partage ?


    6 commentaires
  • Femme Fatal - Don´t push me

    Quelques infidélités à mon blogg... Mea maxima culpa !
    Une semaine fort chargée ? Si peu.
    Juste prendre un peu de recul...


    Sonnerie du portable. Numéro affiché :

    [... Texte censuré...]


    12 commentaires
  • Adonis - no way back</em />

    Sujet O combien intéressant, recette d'un pseudo hymnes :

    Prenons un prénom commun qui me sied bien. Par hasard, posons Anthony. Retirons les "haines" qui le caractérisent. Et nous obtenons un magnifique "Athoy". Laissons-le se refroidir quelques instants. Et occupons nous du nom de famille.
    Prenons un nom de famille embourgeoisé par une particule inutile. Le hasard faisant bien les choses, posons "de M***". Intéressons nous aux initiales : "d M". Renversons ce petit "d", un peu par symbolisme. "d" devient donc "p". Pour le "M", il faut mieux le compresser pour en extraire l'acidité et l'arôme insipide jusqu'à avoir un seul et unique trait "|"que nous figurerons par un "i".

    Une mise au point s'opère dès à présent. Voyons les éléments : Athoy pi.
    Constatons l'horreur phonétique de ce que nous venons de concocter.
    Deux méthodes s'offre à nous : La première est celle du mixeur shaker (mais elle a l'inconvénient d'être imprécis). La seconde est celle de l'anagramme (plus fastidieuse mais qui peut être redoutable et efficace). Privilégions la seconde méthode.

    Procédons : Dans Athoypi, la syllabe qui nous dérange est "thoy". Retirons le o et nous obtenons un Athypi. Instinctivement, nous pensons à atypie qui n'est pas pour nous déplaire. Athypi o et là, grâce soit rendu à qui de droit, s'impose à nos yeux ébahis un Athypio... Qui nous laisse rêveur sur un éphèbe grec, un adonis, un...un...un atypique Athypio (oui, rien que cela... étouffante modestie que l'on se targue bien d'exposer dans un post aussi ridicule).

    Bon week-end à vous tous.... Pour ma part, les festivités vont bientôt commencer escortées par son lot d'excès. A lundi, avec maux de tête !


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